fbpx

Les facteurs de risque pour le développement du diabète

Publié le: 26 juillet 2023

Sommaire

facteurs de risque pour le développement du diabète

Introduction

L’objectif est de discuter les importants motifs d’enjeu pour la croissance du diabète chez les personnes obèses. Le diabète de type 2, est une des maladies chroniques les plus répandues dans le monde, affectant des millions de personnes chaque année [1]. Parmi les diverses populations à risque, les personnes obèses présentent un risque particulièrement élevé d’améliorer cette maladie [2].

En comprenant les principaux facteurs de risque pour le développement du diabète chez les personnes obèses, adopter des stratégies de prévention et de gestion efficaces pour réduire l’incidence de cette affection débilitante.

Plusieurs éléments interagissent et contribuent au risque accru de diabète chez les personnes obèses, notamment la génétique [3], le mode de vie sédentaire [4], les habitudes alimentaires [5], le stress et le sommeil [6], et les comorbidités [7]. L’exploration va permettre de mieux comprendre les mécanismes sous-jacents et les implications pour les politiques de santé publique et les initiatives de prévention.

La prédisposition au diabète et à l’obésité.

Des recherches récentes ont identifié plusieurs gènes liés à l’obésité et leur influence sur le développement du diabète [3]. Le mode de vie sédentaire est un facteur clé, car l’immobilité physique est étroitement connectée à l’obésité et augmente le risque de diabète [4]. Les habitudes alimentaires, y compris la consommation de sucres ajoutés et de graisses saturées, ont également un impact significatif sur le poids et l’expansion du diabète [5]. Le stress chronique et le manque de sommeil peut contribuer au développement de l’obésité et du diabète en modifiant les mécanismes biologiques et hormonaux [6].

Les comorbidités associées à l’obésité, telles que le syndrome métabolique et l’hypertension, exacerbent la menace de diabète chez les personnes obèses [7]. La surveillance et le traitement de ces comorbidités sont essentiels pour prévenir le diabète. En examinant ces facteurs de risque, cet article mettra en évidence l’importance d’une approche multidimensionnelle pour la précaution et la gestion du diabète chez les personnes obèses.

La génétique et le diabète

La prédisposition héréditaire joue un rôle important dans l’expansion du diabète de type 2 et de l’obésité. Différents gènes associés à l’obésité et ont examiné leur influence sur le développement du diabète [8]. Bien que la relation entre la génétique et l’obésité soit complexe et multifactorielle, Comprendre les conséquences pour la prévention et la gestion du diabète chez les personnes obèses.

La prédisposition génétique au diabète de type 2 est bien établie, avec plusieurs gènes impliqués dans la régulation de la glycémie, la production d’insuline et la sensibilité à l’insuline [9]. Les personnes porteuses de certaines variantes génétiques sont plus susceptibles de développer un diabète de type 2. Les polymorphismes du gène TCF7L2 sont fortement associés au risque de diabète de type 2 [10].

De même, les gènes liés à l’obésité peuvent également influencer le risque de diabète. Des études génomiques ont identifié plusieurs loci associés à l’obésité, dont le gène FTO (fat mass and obesity-associated), qui est le gène le plus fortement associé à l’obésité dans différentes populations [11]. Les personnes porteuses de certaines variantes du gène FTO ont non seulement un risque accru d’obésité, mais aussi un risque accru de diabète de type 2, indépendamment de leur poids [12].

La génétique diabète et l’obésité : les facteurs

La façon dont les gènes sont liés à l’obésité influencent le risque de diabète peut être complexe et dépendre de divers facteurs environnementaux et comportementaux. Le rapport entre les gènes et le mode de vie, tels que l’alimentation et l’activité physique, peut moduler le risque de diabète chez les personnes obèses. Certaines études ont montré que les individus porteurs de variantes à risque du gène FTO sont plus susceptibles de bénéficier d’une alimentation saine et d’une effort physique régulière pour réduire leur risque de diabète [13].

Les recherches récentes et les avancées en génétique ont également permis de mieux comprendre les mécanismes moléculaires et cellulaires par lesquels les gènes liés à l’obésité et au diabète agissent. Des études ont montré que le gène FTO est impliqué dans la régulation de l’appétit et du métabolisme énergétique, ce qui peut contribuer à l’obésité et au diabète [14]. De plus, les gènes liés au diabète peuvent influencer la fonction des cellules bêta du pancréas, responsables de la production d’insuline, ainsi que la signalisation de l’insuline dans les tissus périphériques [15].

CLIQUEZ ICI POUR DEMANDER UN DEVIS GRATUIT
CLIQUEZ ICI POUR DEMANDER UN DEVIS GRATUIT

Le mode de vie sédentaire

Le mode de vie sédentaire est un facteur à risque majeur pour le développement du diabète de type 2, en particulier chez les personnes obèses [4]. L’inactivité physique peut contribuer à l’obésité et à la résistance à l’insuline, deux facteurs étroitement liés au diabète. Comprendre l’impact du mode de vie sédentaire sur le risque de diabète chez les personnes obèses est essentiel pour élaborer des stratégies de prévention efficaces.

La relation entre l’inactivité physique et l’obésité est bien établie. Les personnes qui mènent une vie sédentaire dépensent moins d’énergie que celles qui sont physiquement actives, ce qui peut conduire a un déséquilibre énergétique et, à terme, un gain de poids [16]. L’inactivité physique peut favoriser la perte de masse musculaire, ce qui réduit encore la dépense énergétique de l’organisme et augmente le risque d’obésité [17].

L’importance de l’exercice physique quand on atteint de diabète

Des études ont montré que l’activité physique régulière améliore la sensibilité à l’insuline, réduit la résistance à l’insuline et aide à maintenir un poids corporel sain [18]. L’exercice physique peut également aider à prévenir d’autres complications liées à l’obésité, telles que les maladies cardiovasculaires [19].

Les recommandations actuelles pour augmenter l’activité physique chez les adultes comprennent au moins 150 minutes d’activité d’intensité modérée ou 75 minutes d’activité d’intensité vigoureuse par semaine, ou une combinaison des deux [20]. Il est également recommandé d’inclure des exercices de renforcement musculaire au moins deux jours par semaine. Ces recommandations s’appliquent également aux personnes obèses, bien que l’intensité et la durée de l’exercise physique puissent être adaptées en fonction des capacités et des limitations individuelles.

Pour sa santé l’activité physique peut être observée même en l’absence d’une perte de poids significative. Les personnes obèses qui étaient physiquement actives avaient un risque réduit de diabète de type 2, comparativement à celles qui étaient inactives, indépendamment de leur poids [21]. Cela suggère que l’activité physique peut avoir des effets bénéfiques sur la sensibilité à l’insuline et la régulation de la glycémie, même sans perte de poids substantielle.

Pour encourager l’activité physique chez les personnes obèses, tenir compte des barrières à l’exercice et de proposer des solutions adaptées. Les personnes obèses peuvent éprouver des difficultés à réaliser certaines activités en raison de problèmes de mobilité ou de douleurs articulaires [22].

Les habitudes alimentaires

Les attitudes alimentaires jouent un rôle crucial dans le développement de l’obésité et du diabète de type 2 [5]. Les choix alimentaires peuvent influencer le poids corporel et la sensibilité à l’insuline, deux facteurs étroitement liés au diabète.

Comprendre l’impact des habitudes alimentaires sur le risque de diabète chez les personnes obèses est essentiel pour orienter les recommandations nutritionnelles et les interventions de prévention.L’une des principales causes de l’obésité est un apport calorique excessif, souvent dû à la consommation de grandes quantités d’aliments riches en énergie, en sucres ajoutés et en graisses saturées [23].

Ces types d’aliments contribuent à un déséquilibre énergétique, favorisant la prise de poids et augmentant le risque de diabète [24]. La consommation régulière de boissons sucrées est associée une augmentation au risque de diabète type 2, indépendamment du poids corporel [25].

La qualité de l’alimentation est également un facteur clé dans le risque de diabète chez les personnes obèses. Les régimes riches en fibres, fruits ,légumes, grains et acides gras insaturés ont été associés à une réduction au risque de diabète type 2 [26].Les régimes alimentaires à faible indice glycémique, qui provoquent une augmentation plus lente et plus stable de la glycémie après les repas, peuvent améliorer la sensibilité à l’insuline et réduire le risque de diabète [27].

Adopter des choix alimentaires sains et durables.

Les régimes alimentaires de type méditerranéen et DASH (Dietary Approaches to Stop Hypertension) ont été spécifiquement étudiés pour leurs effets bénéfiques sur la prévention du diabète et de l’obésité [28].

Ces régimes mettent l’accent sur la consommation de fruits, de légumes, de grains entiers, de légumineuses, de noix et de graines, ainsi que sur la réduction de la consommation de viandes rouges,graisses saturées et sucres ajoutés. Les personnes obèses qui adoptent ces types de régimes peuvent réduire leur risque de diabète et améliorer leur santé globale [29].

Les habitudes alimentaires ne sont pas le seul facteur déterminant le risque de diabète chez les personnes obèses. D’autres facteurs, tels que la génétique, le mode de vie sédentaire et les comorbidités, peuvent également influencer le risque de diabète et doivent être pris en compte dans les stratégies de prévention.

Pour aider les personnes obèses à améliorer leurs habitudes alimentaires et à réduire leur risque de diabète, promouvoir des stratégies alimentaires personnalisées et adaptées aux besoins et aux préférences individuelles [30].

Le stress et le sommeil

Le stress et le sommeil: sont deux facteurs souvent négligés qui peuvent contribuer au développement du diabète chez les personnes obèses [6]. Le stress chronique et les troubles du sommeil peuvent avoir un impact significatif sur la régulation de la glycémie, la sensibilité à l’insuline et le contrôle du poids, augmentant ainsi le risque de diabète. Examiner l’impact du stress et du sommeil sur le risque de diabète est crucial pour élaborer des stratégies de prévention complètes.

La prévention du diabète et facteurs de risque 

  • Le stress chronique : peut influencer le risque de diabète de type 2 par divers mécanismes. Les hormones du stress, telles que le cortisol, peuvent altérer la régulation de la glycémie et réduire la sensibilité à l’insuline, augmentant ainsi le risque de diabète [31]. De plus, le stress peut également contribuer à l’obésité en favorisant une alimentation émotionnelle et en réduisant la motivation à faire de l’exercice [32].
  • Les troubles du sommeil : tels que l’apnée du sommeil obstructive et l’insomnie, sont fréquents chez les personnes obèses et peuvent également augmenter le risque de diabète [33]. Les perturbations du sommeil peuvent provoquer des déséquilibres hormonaux et une altération de la régulation de la glycémie, ainsi qu’un appétit accru, conduisant à une consommation excessive de calories et à une prise de poids supplémentaire [34]. De plus, la privation de sommeil peut réduire la sensibilité à l’insuline, ce qui augmente encore le risque de diabète [35].
  • La gestion du stress et l’amélioration : de la qualité du sommeil peuvent être des stratégies efficaces pour prévenir le diabète chez les personnes obèses. Les interventions de réduction du stress, telles que la méditation, la relaxation progressive des muscles et la thérapie cognitivo-comportementale, ont montré des effets bénéfiques sur la régulation de la glycémie et la sensibilité à l’insuline [36]. De plus, la participation à des activités de loisirs et l’entretien d’un réseau social solide peuvent également aider à atténuer le stress et à améliorer la santé globale.

Une bonne hygiène du sommeil et soigner les troubles du sommeil pour réduire le risque de diabète chez les personnes obèses. Les stratégies d’hygiène du sommeil comprennent la mise en place d’un horaire de sommeil régulier, la création d’un environnement propice au sommeil ,la limitation de la consommation de caféine et d’alcool avant le coucher [37].

Le traitement des troubles du sommeil, tels que l’apnée du sommeil obstructive, peut également contribuer à améliorer la régulation de la glycémie et à réduire le risque de diabète [38].

Il convient de souligner que la gestion du stress et l’amélioration de la qualité du sommeil doivent être intégrées dans une approche globale de prévention du diabète chez les personnes obèses.Une prise en charge efficace du stress et un sommeil doit être associés à des changements de mode de vie,l’adoption d’une alimentation équilibrée et pratique régulière d’activité physique, pour réduire le risque de diabète [39].

Évaluer les niveaux de stress et la qualité du sommeil chez les personnes obèses et de proposer des interventions adaptées à leurs besoins spécifiques.Les professionnels de la santé devraient envisager d’inclure des stratégies de gestion du stress et du sommeil dans leurs programmes de prévention du diabète pour les personnes obèses, afin d’aborder ces facteurs de risque souvent négligés [40].

CLIQUEZ ICI POUR DEMANDER UN DEVIS GRATUIT
CLIQUEZ ICI POUR DEMANDER UN DEVIS GRATUIT

Les comorbidités et les facteurs à risque

Les comorbidités sont des affections médicales qui coexistent avec l’obésité et peuvent augmenter le risque de développer un diabète de type 2. Certaines comorbidités courantes chez les personnes obèses comprennent l’hypertension artérielle, la dyslipidémie et le syndrome métabolique [7]. Examiner l’impact des comorbidités sur le risque de diabète chez les personnes obèses est essentiel pour orienter les stratégies de prévention et les interventions thérapeutiques.

D’autres interventions thérapeutiques peuvent :

  • L’hypertension artérielle: également appelée hypertension, est une comorbidité fréquente chez les personnes obèses et est étroitement liée au risque de diabète de type 2 [41]. L’hypertension peut altérer la fonction endothéliale et réduire la sensibilité à l’insuline, ce qui entraîne une résistance à l’insuline et un risque accru de diabète [42]. De plus, l’hypertension peut également exacerber les complications du diabète, telles que les maladies rénales et les maladies cardiovasculaires [43].
  • La dyslipidémie: caractérisée par des niveaux anormaux de lipides dans le sang, est également courante chez les personnes obèses et est associée à un risque accru de diabète de type 2 [44]. Les déséquilibres lipidiques, tels que des niveaux élevés de triglycérides et de lipoprotéines de basse densité (LDL) ou des niveaux faibles de lipoprotéines de haute densité (HDL), peuvent altérer la sensibilité et favoriser la résistance à l’insuline [45].
  • Le syndrome métabolique : est une constellation de facteurs de risque métaboliques qui augmentent le risque de diabète et de maladies cardiovasculaires [46]. Les critères de diagnostic du syndrome métabolique comprennent l’obésité abdominale, l’hypertension, la dyslipidémie, et l’hyperglycémie à jeun [47]. Les personnes atteintes du syndrome métabolique présentent un risque significativement plus élevé de développer un diabète de type 2 que celles sans syndrome métabolique [48].

La prise en charge des comorbidités est essentielle pour réduire le risque de diabète de type 2. La perte de poids, peut être obtenue par des changements de mode de vie tels que l’alimentation et l’exercice, est un élément clé de la gestion des comorbidités liées à l’obésité [49]. La perte de poids peut améliorer la pression artérielle, les profils lipidiques et la sensibilité à l’insuline, réduisant ainsi le risque de diabète [50].

Conclusion

Nombreux facteurs de risque, dont la génétique, le mode de vie sédentaire, les habitudes alimentaires, le stress, le sommeil et les comorbidités [1,6,7].Comprendre et aborder ces facteurs de risque est crucial pour élaborer des stratégies de prévention efficaces et réduire le fardeau du diabète dans cette population à risque [51].

La prévention du diabète chez les personnes obèses nécessite une approche globale et personnalisée qui cible tous les facteurs de risque pertinents [39,52].Les interventions basées sur le mode de vie, telles que l’adoption d’une alimentation saine et la pratique régulière d’activité physique, sont essentielles pour réduire le risque de diabète et améliorer la santé globale [53].

La gestion du stress et l’amélioration de la qualité du sommeil, ainsi que le traitement des comorbidités liées à l’obésité, sont des éléments importants d’une stratégie de prévention complète [36,37,50].Les professionnels de la santé doivent être conscients de l’interaction complexe des facteurs a risque du diabète chez les personnes obèses et adapter leurs approches de prévention et de traitement en conséquence [54].

Sources

  1. International Diabetes Federation. (2021). IDF Diabetes Atlas. 10th Edition.
  2. Hruby, A., & Hu, F. B. (2015). The Epidemiology of Obesity: A Big Picture. Pharmacoeconomics, 33(7), 673-689. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25471927/
  3. Locke, A. E., et al. (2015). Genetic studies of body mass index yield new insights for obesity biology. Nature, 518(7538), 197-206. 
  4. Sedentary Behaviour Research Network. (2012). Letter to the editor: standardized use of the terms “sedentary” and “sedentary behaviors”. Applied Physiology, Nutrition, and Metabolism, 37.
  5. World Health Organization. (2021). Diabetes. Retrieved from 
  6. Chrousos, G. P. (2000). The role of stress and the hypothalamic-pituitary-adrenal axis in the pathogenesis of the metabolic syndrome: neuro-endocrine and target tissue-related causes. International Journal of Obesity, 24(S2), S50. 
  7. Alberti, K. G., Zimmet, P., & Shaw, J. (2005). The metabolic syndrome—a new worldwide definition. The Lancet, 366(9491), 1059-1062. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16182882/
  8. Chrousos, G. P. (2000). The role of stress and the hypothalamic-pituitary-adrenal axis in the pathogenesis of the metabolic syndrome: neuro-endocrine and target tissue-related causes. International Journal of Obesity, 24(S2), S50.
  9. Torres, S. J., & Nowson, C. A. (2007). Relationship between stress, eating behavior, and obesity. Nutrition, 23(11-12), 887-894.
  10. Punjabi, N. M. (2008). The epidemiology of adult obstructive sleep apnea. Proceedings of the American Thoracic Society, 5(2), 136-143.https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/18250205/
  11. Taheri, S., Lin, L., Austin, D., Young, T., & Mignot, E. (2004). Short sleep duration is associated with reduced leptin, elevated ghrelin, and increased body mass index. PLoS Medicine, 1(3), e62.
  12. Knutson, K. L., Spiegel, K., Penev, P., & Van Cauter, E. (2007). The metabolic consequences of sleep deprivation. Sleep Medicine Reviews, 11(3), 163-178..
  13. Dusek, J. A., Hibberd, P. L., Buczynski, B., Chang, B. H., Dusek, K. C., Johnston, J. M., … & Benson, H. (2008). Stress management versus lifestyle modification on systolic hypertension and medication elimination: a randomized trial. Journal of Alternative and Complementary Medicine, 14(2), 129-138.https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/18315510/
  14. Irish, L. A., Kline, C. E., Gunn, H. E., Buysse, D. J., & Hall, M. H. (2015). The role of sleep hygiene in promoting public health: A review of empirical evidence. Sleep Medicine Reviews, 22, 23-36.
  15. Foster, G. D., Sanders, M. H., Millman, R., Zammit, G., Borradaile, K. E., Newman, A. B., … & Sleep AHEAD Research Group. (2009). Obstructive sleep apnea among obese patients with type 2 diabetes. Diabetes Care, 32(6), 1017-1019.
  16. Colberg, S. R., Sigal, R. J., Yardley, J. E., Riddell, M. C., Dunstan, D. W., Dempsey, P. C., … & Tate, D. F. (2016). Physical activity/exercise and diabetes: a position statement of the American Diabetes Association. Diabetes Care, 39(11), 2065-2079.https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27926890/
CLIQUEZ ICI POUR DEMANDER UN DEVIS GRATUIT
CLIQUEZ ICI POUR DEMANDER UN DEVIS GRATUIT

Actualités similaires